Le monde à l’envers – Brésil Août 2012

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Bonjour les amis !
Je reprends le chemin de ce blog pour continuer de militer et vous faire partager les indignations actuelles à la lecture de cet article qui reprend l’histoire du Brésil et des malheurs successifs des indigènes. Nous avons la chance d’avoir Stéphan Bry, français, basé non loin de Bello Monté qui nous sert à la fois de journaliste et d’ambassadeur.
En vous souhaitant une excellent fin d’été et en vous disant à bientôt via le net, par ici ou par là !
*DoMica*

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Brésil : L’interminable massacre du peuple indigène
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Source : Conselho Indigenista Missionario
Lundi 13 Aoüt 2012
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Traduit du portugais par Stéphan Bry
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Quand les Portugais sont arrivés sur la côte brésilienne, ils ne voulaient rien d’autre que l’or et les richesses, tout comme les espagnols lorsqu’ils arrivèrent dans la région centrale d’Abya Yala (nom donné au continent américain par les indigènes Kuna de Panama et de Colombie avant l’arrivée de Christophe Colomb – NDT). Se retrouver en présence d’autres peuples, avec d’autres langues et d’autres manières d’organiser la vie ne posa pas de problème. Ils avaient le pouvoir des armes. C’est ainsi que, par le pouvoir des arquebuses, ils imposèrent un dieu, ils esclavisèrent, décimèrent et détruisirent. L’invasion de Pindorama (mot d’origine tupi – pindó-rama ou pindó-retama, terre/lieu/région des palmiers – qui désignait ce qui deviendra plus tard le Brésil – NDT) n’a jamais été une « rencontre de cultures ». Ce fut un génocide. À cette époque, des millions de personnes ont été tuées à cause de l’avidité des étrangers. « Ils n’ont pas d’âme » disaient les prêtres très pieux. Ceux qui résistèrent s’enfoncèrent dans les forêts, fuirent le littoral et réussirent à échapper à l’extermination pour quelques temps. Mais pas pour longtemps. Avec la colonisation, les Portugais ouvrirent des voies vers l’intérieur et n’économisèrent pas la poudre. Les indigènes étaient rayés de la carte. Puis, avec l’arrivée des immigrants, les indigènes subirent à nouveau des vagues d’extermination.
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Le temps passa et les communautés indigènes qui avaient survécu organisèrent leur lutte. Il y eu de mémorables épisode de résistance. Dans la région nord de difficile accès, de nombreux groupes réussirent à survivre. Mais au début du XXe siècle, avec la nouvelle politique nationale d’occupation, une nouvelle fois le contact fut établi avec les indigènes, avec moins de violence physique, mais avec la même intention de nier leur culture et leur mode de vie. l’idée était de les intégrer à la vie nationale, considérée comme étant « la civilisation ». Malgré les bonnes intentions de personnages comme le maréchal Rondon, la décision de cette intégration était unilatérale. Personne n’a demandé aux indigènes si c’était ce qu’ils désiraient. C’était une politique de l’état basée sur l’idée que le mode de vie originel n’était pas bon.
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En fait, cette intégration forcée représentait une violence contre ces communautés. Et ceux qui n’acceptaient pas de « s’intégrer » au monde « civilisé » ont dû se parquer dans des « réserves », des endroits préalablement démarqués pour leur « protection ». Ainsi, ceux qui étaient les propriétaires légitimes de ces terres durent vivre de la tolérance des envahisseurs, confinés et dépendants du gouvernement pour pratiquement tout, même de la nourriture. Il ne suffisait pas qu’ils soient sous tutelle, les indigènes se retrouvèrent sur la ligne de feu d’une bataille contre ceux qui s’étaient approprié leurs terres, les fermiers, les trafiquants de terres, les latifundiarios (grands propriétaires terriens – NDT). Les conflits furent nombreux lorsque le Brésil décida de repousser ses frontières agricoles. Les communautés qui se trouvaient sur des terres fertiles se sont vite retrouvées harcelées. Dans la région amazonienne, les richesses en bois et la biodiversité motivèrent la convoitise et, même au plus profond de la forêt, les indigènes durent affronter les mêmes ennemis de toujours : les missionnaires, les trafiquants de terres, les ONG, les gens « bien intentionnés ».
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Toutes ces luttes ont toujours eu lieu dans un contexte inégal. Tout d’abord, les indigènes étaient les sauvages qu’il fallait civiliser, puis ils sont devenus les paresseux qui ne voulaient pas travailler dans le nouveau monde qui leur était offert si généreusement. D’une façon ou d’une autre, ils étaient présentés à la nation comme des êtres inutiles, seulement susceptibles d’être reconnus comme « quelque chose d’exotique ». Quand ces communautés commencèrent à lutter, une fois de plus, pour leur territoires, tous ces préjugés revinrent en force. Et les indigènes étaient montrés comme ceux qui empêchaient le progrès du pays. Garantir à ces gens de grandes extensions de terre était considéré comme absurde, car, finalement, ils ne travaillaient pas. Exactement comme les Portugais de 1500, les gens au pouvoir voyaient les indigènes comme des individus de deuxième zone, incapables, retardés, quelque chose qui devait être anéanti. Dans la constitution de 1988, les communautés indigènes ont réussi à conquérir quelques droits. Elles continuaient sous tutelle, mais ont consolidé un espace de lutte dans lequel il était devenu impossible de nier l’importance de leurs actions, de leur culture, de leur mode de vie tellement différent du mode de production capitaliste hégémonique du monde occidental.
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Les luttes actuelles
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À la veille du XXIe siècle, apparut sur toute la planète un gigantesque mouvement de récupération de la mémoire des cultures qui avaient été opprimées par le colonialisme européen de la période qualifiée de « modernité ». Dans les années 90, encore dans le XXe siècle, les communautés de l’Équateur envahirent la capitale Quito, occupèrent les églises et décidèrent de prendre en main leurs propres vies. En 1994, les Indiens du Chiapas, au Mexique, s’insurgèrent aussi, et en armes, prirent des villes et décidèrent que jamais plus le monde ignorerait leurs revendications. Puis les luttes s’éparpillèrent dans toute la région andine, en Amérique du sud et centrale, aux Caraïbes, en Amérique du nord (États Unis et Canada). Mais pas au Brésil. Les communautés, muettes depuis 500 ans, se levaient avec leurs mots, leurs mythes, leurs visions du monde. Elles voulaient gérer leurs vies et protéger leurs territoires, systématiquement consumés par l’ambition vorace du capital.
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Pour ces peuples, la terre n’est pas l’objet de spéculation, c’est un espace sacré. La terre est la mère de la vie, l’eau est le lieu des dieux, les animaux font partie d’un système équilibré de survie. Ces choses là n’ont pas de prix, elles ont de la valeur.
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Pour les hommes du pouvoir, ce mouvement indigène doit être freiné. Ils n’acceptent pas de perdre leur domination sur la terre, car beaucoup de ces terres regorgent de richesses. Leurs arguments sont simplistes : les Indiens ne savent pas protéger leurs territoires, ils vendent le bois contre de l’alcool, ils ne connaissent pas les instruments du progrès. Autrement dit, ils n’auraient pas les moyens de gérer avec sagesse les terres qui leur sont confiées. Ainsi, personne n’est plus apte qu’eux, les capitalistes, de diriger et de contrôler les territoires. Ils sont travailleurs, ils entreprennent, ils peuvent apporter le progrès, comme c’est le cas avec les barrages en construction en Amazonie. Cela est prendre soin, cela est protéger, cela est donner une fonction sociale à la terre. Pas cette idée indigène de laisser la terre sans utilisation, ce qui est pour eux un anti-progrès. C’est ainsi que se poursuit ce bras de fer tellement inégal. Il suffit d’un regard sur Bello Monte pour constater les dégâts causés à la forêt, à la biodiversité, aux familles riveraines. Les Indiens résistent et sont suffoqués par les armes et les préjugés. Et avec la déroute des Indiens vient la misère de tous ceux qui vivent là, parce que le « progrès » des capitalistes signifie le progrès pour seulement quelques uns.
Comme si ne suffisait pas toute cette histoire d’extermination, de préjugés et d’oppression, l’Advocacia Geral da União (AGU, organisme juridique fédéral chargé du conseil et de la défense des intérêt du gouvernement – NDT) décide d’émettre une ordonnance contraire aux lois nationales et internationales. Cette ordonnance étend à toutes les terres indigènes ce qui avait été décidé par le Supremo Tribunal Federal (STF – instance judiciaire supérieure, NDT) contre la Terre Indigène Raposa Serra do Sol. Que cela signifie-t-il ? Une atteinte de plus à la vie des 800 mille Indiens qui résistent encore dans ce pays.
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Le Brésil à contre-courant
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Concrètement, cette ordonnance permet que les terres indigènes soient occupées par des unités ou des postes militaires, des réseaux routiers, des projets hydro-électriques ou miniers considérés stratégiques, sans que les indigènes soient consultés à ce sujet, chose qui va à l’encontre non seulement de la constitution mais aussi de la convention 169 de l’Organisation Internationale du travail (OIT). Cela permet aussi qu’il y ait une révision des démarcations en cours ou déjà réalisées, violant ainsi l’autonomie des peuples sur leurs territoires. De cette façon, le gouvernement retire aux communautés la possibilité de décider elles mêmes de l’utilisation des richesses qui existent sur leurs territoires. Autrement dit, il s’agit de la remise aux capitalistes du droit d’exploiter.
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Une autre manière de faire pression sur les communautés est de transférer à l’Institut Chico Mendes de Conservation de la Biodiversité (ICMBIO) le contrôle des terres indigènes sur lesquelles ont été créées illégalement des Unités de Conservation.
….De manière perverse, cela met les indigènes…………..
….dans le rôle de destructeurs, de pollueurs……………….
….et d’envahisseurs de réserves environnementales…..

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L’ordonnance 303 de l’AGU est l’instrument moderne de domination des mêmes vieux oppresseurs. Si ces instruments étaient autrefois des arquebuses, c’est aujourd’hui la loi. Et le plus surprenant, une loi qui viole la constitution. La décision du STF n’a de validité que pour la zone de Raposa Serra do Sol qui représente déjà une grande déroute pour les peuples indigènes. La lutte contre cette décision spécifique du STF est loin d’être terminée. Les indigènes qui vivent à Raposa Serra do Sol ont fait appel de cette décision, et il existe encore des points non jugés. Comment l’AGU peut-elle donc émettre une ordonnance qui étend des décisions qui ne sont pas encore définitives dans cette zone ? Et qui prétend que l’AGU a le pouvoir de faire cela ? Seul le Congrès National peut légiférer sur les terres indigènes. La réponse à ces question ne peut être trouvée que dans la pression exercée par les latifundiarios et les entreprises qui souhaitent occuper et exploiter des terres riches aujourd’hui entre les mains des Indiens.
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Le monde moderne est un monde en lutte pour l’énergie. Le pétrole s’épuise et tout le mode de production capitaliste – qui est par essence destructeur – est en faillite. C’est pour cela que ceux qui obtiendront le contrôle de l’eau et de la biodiversité seront, sans aucun doute, ceux qui domineront le monde. Ce n’est pas pour rien que de grandes extension de terres sont achetées par des investisseurs internationaux dans des régions comme le Pantanal, l’Amazonie, l’aquifère Guarani, justement dans des endroits où les indigènes sont un frein à la domination des ressources et des richesses. Le gouvernement brésilien, en suivant la même logique que la majorité de ses prédécesseurs, est disposé à concéder des droits à ces « entrepreneurs », en condamnant une fois de plus les indigènes à l’extermination, et la population en général à la dépendance.
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Si l’ordonnance 303 est adoptée, n’importe quelle terre indigène déjà démarquée pourra être retirée des communautés, si elle contient quelque chose qui intéresse ces gens-là, toujours prêts à sucer les richesses du pays. Et cela va amplifier encore plus les conflits déjà existants, dans lesquels les communautés indigènes sont nettement en désavantage, comptant quotidiennement leurs morts. Comment se battre contre des milices fortement armées ? Comment se défendre de ces milices et des mercenaires bien entrainés, des francs-tireurs, des tueurs à gage ? C’est l’histoire qui se répète.
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Seule l’union garantit la vie
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Pour la population, le gouvernement fait une propagande et utilise les moyens de communication en mentant sans vergogne au sujet du dialogue et du respect des droits indigènes. Mais dans la pratique, la politique suit sa logique d’extermination et de massacre des cultures autochtones. À contre-courant de tout ce qui se passe en Amérique Latine, où les peuples premiers conquièrent chaque jour un peu plus de droits, le gouvernement brésilien est en plein recul, allié à l’agro-industrie et aux intérêts internationaux, et condamnant toute la population aux griffes de l’éternelle dépendance.
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Il faut que les Brésiliens connaissent ce qui qui se cache derrière les textes de loi. Que les syndicats informent les travailleurs, que soit réalisée une alliance entre les travailleurs des villes ou des campagnes et les communautés indigènes. Ces 800 mille Indiens qui résistent encore au massacre débuté en 1500 sont notre héritage historique, la cellule mère de notre culture, un héritage immortel, une partie constitutive de notre essence en tant que peuple. Défendre leur droit de vivre sur les terres qu’ils occupaient depuis toujours, de préserver leur mode de vie, leurs dieux, leur vision du monde, de gérer leurs richesses selon des principes qui leur sont propres, tels que l’équilibre environnemental et la réciprocité, c’est garantir la possibilité de construire une autre société, juste et souveraine.
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Il n’est pas possible que les Brésiliens (et le reste de l’humanité – NDT) permettent que nos richesses soient remises aux puissants de service, aux étrangers, aux soi-disant « hérauts du progrès » qui ne sont en fait rien d’autre que les destructeurs de la vie. Les communautés indigènes nous montrent qu’il existe d’autres formes de vie, un autre « progrès », un autre modèle de développement. Nier cela c’est être complice d’un crime, c’est agir comme agissaient les envahisseurs, les assassins, c’est défendre le massacre.
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Nous avons déjà assez de sang indigène sur les mains.
Il faut répudier l’ordonnance 303.
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Que l’humain cesse de vouloir régner en maître, il ne l’est pas !

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Mes Meilleurs Voeux 2012

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La vérité est une science qui a de l’avenir en 2012 !
Voici une vidéo à ouvrir sur Dailymotion :

Annick de Souzenelle et le chemin intérieur
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Pensée du dimanche 28 septembre 2008 par Omraam Mikhaël Aïvanhov
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« Quand il ne s’agit que de quelques personnes, c’est facile de se réunir, d’avoir de bonnes relations, de se comprendre, car, en général, les humains ont l’habitude de se regrouper par affinités. Mais quand il s’agit de tous les pays, de toutes les nations sur la terre qui doivent vivre ensemble, que de difficultés ! Depuis des siècles, des millénaires, ils se dressent les uns contre les autres avec leurs visions du monde et leurs religions différentes, avec leurs systèmes politiques et économiques différents, avec leurs traditions différentes.
Comment les harmoniser ? Il faut pour cela une science prodigieuse.
Vous suivez l’enseignement de la Fraternité Blanche Universelle et vous croyez qu’il suffit de vous rencontrer entre vous, d’entretenir de bonnes relations fraternelles. Eh non, cela ne suffit pas !
Même si vous êtes quelques centaines, quelques milliers, cela ne suffit pas.
Le but de notre Enseignement n’est pas de réunir quelques personnes,
mais d’unir tous les peuples.
En venant ici, c’est à cela que vous devez penser, c’est à cela que vous devez travailler en cherchant ce que vous pouvez faire pour que se répande cette philosophie de l’universalité. »

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«Être un Soufi c’est abandonner toutes inquiétudes,
et il n’existe pas d’inquiétude pire que vous-même.
Lorsque vous êtes occupé par le soi, vous êtes séparé de Dieu.
Le chemin vers Dieu n’a qu’une étape, celle de sortir de vous-même.»
Citation soufie


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Mes billets publiés récemment :
Astralune
Domica 01
BlogSpot
Présence sur Facebook

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Sous un ciel étoilé mais humide, et sans même un petit flocon,
je vous souhaite une Bonne & Belle Route
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balisée par de belles rencontres !
Tchin mes amis ! …
*DoMica*

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Belo Monte – Saopolo 20 Août 2011

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url où d’autres vidéos vous attendent.
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Je milite Pour les forêts et leurs habitants privilégiés ;
et Contre ce barrage de Belo Monte depuis décembre 2010,
d’autres billets « archivés » sur ce blog.
De nombreux liens sur tous mes blogs
Le cri de Raoni et
cet interview de Nicolas Hulot
où nous apprenons que c’est en France
et chez Alsthom
que se fabriquent les turbines de ce barrage.
La France est protégée par le signe qui la gouverne, c à d la Balance,
qui abrite actuellement Saturne,
je souhaite que notre pays réfléchisse bien sur le mercantilisme de nos grandes firmes
qui empoisonnent le monde, en voici une autre : AREVA ;
je laisse la parole aux planètes, et c’est à nous de les suivre …
Les pétitions courent toujours

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Mardi 06 septembre 2011
Source Le Monde
En Amazonie, le bras de fer autour du barrage Belo Monte continue :
C’est un combat majeur qui se déroule en Amazonie depuis de nombreuses années : la bataille autour du Belo Monte, cet immense barrage qui doit voir le jour dans le nord-ouest du Brésil, sur le fleuve Xingu. Le feu vert définitif pour la construction de l’édifice hydroélectrique a été donné le 1er juin dernier par l’Institut brésilien de l’environnement. Mais les opposants au projet ne baissent pas les bras.
Fin août, des manifestations ont été organisées dans quinze pays — du Brésil à la France en passant par le Mexique, les Etats-Unis et le Canada — par plusieurs associations telles que France libertés, Survival ou Amazon Watch. « Préservons la forêt et l’humanité. Non à Belo Monte ! », scandaient les opposants, comme ici à Sao Paulo, où une effigie en paille de la présidente brésilienne Dilma Rousseff a été brûlée.
La pétition lancée par le chef Raoni, connu pour ses combats en faveur de la forêt amazonienne et fer de lance de l’opposition au projet, a par ailleurs réuni plus de 100 000 signatures, tandis que des personnalités s’engageaient contre le barrage, comme le chanteur Sting ou le réalisateur James Cameron.
Car le Belo monte, c’est un barrage de 6 km de large avec ses canaux de dérivation et une zone d’inondation estimée à 500 km2 sur les berges du Xingu, dans l’ouest de l’Etat amazonien du Para. Conséquence : 16 000 personnes devront quitter leurs terres. L’ouvrage va par ailleurs porter un coup supplémentaire à la forêt amazonienne, déjà fortement touchée par la déforestation massive qui l’affecte depuis des années, menaçant la survie de centaines d’espèces animales et végétales. Enfin, le barrage devrait provoquer un dérèglement de l’équilibre du fleuve.
Selon les associations écologistes, le gouvernement brésilien bafoue par ailleurs la Constitution du pays et la Déclaration sur les droits des peuples autochtones des Nations Unies, qui affirment notamment que tout projet ayant un impact sur des territoires indigènes doit s’établir en concertation avec la population y vivant.
Mais pour l’Etat brésilien, pas question d’abandonner un barrage qui, avec une puissance prévue de 11 000 mega-watts, devrait générer 11 % de l’électricité du pays et créer des dizaines de milliers d’emplois. Afin d’accompagner la croissance économique, le gouvernement s’est en effet fixé pour objectif de doubler la production nationale d’électricité d’ici 2019 — date à laquelle le barrage est censé être achevé. La capacité énergétique installée, qui est actuellement de 112 000 MW devrait ainsi atteindre 240 000 MW d’ici huit ans. D’un coût évalué à 11 milliards de dollars, Belo Monte sera le troisième plus grand barrage au monde, derrière celui des Trois-Gorges en Chine (18 000 MW) et celui d’Itaipu qui alimente le Brésil et le Paraguay (14 000 MW).
Sous couvert d’études rassurantes de l’Institut brésilien de l’environnement, organisme public, Dilma Rousseff ne semble pas vouloir faire marche arrière, même si sa cote de popularité en ressort affectée. Son prédécesseur Lula Da Silva, avait de la même façon relancé le projet, quitte à crisper certains de ses alliés, avec notamment la démission de la ministre de l’écologie Marina Silva de son poste de ministre de l’environnement en mai 2008.
Alors que le chantier a démarré, le bras de fer continue donc. Les porte-parole des peuples indigènes ont promis de nouvelles actions sans qu’aucune date ne soit encore fixée.

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Hommage à David Servan Schreiber

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« Il irradiait de lui une force tranquille, un amour inconditionnel des êtres humains et un respect indéfectible pour la nature. Il n’a eu de cesse que de partager la science avec le grand public. Il savait être clair, accessible et novateur : ses questionnements sont maintenant devenus des domaines de recherche à part entière. »
Dr Presles


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Mon hommage à David
qui a beaucoup œuvré pour nous tous et fait évoluer les mentalités.
Malade depuis 1992, il avait rechuté en Juin 2010, c’est alors qu’il écrivit son 3° livre :
« On peut se dire au revoir plusieurs fois. »
Écoutez son frère sur RTL (vidéo d’archive) :
(http://radio.rtl.fr/player.html)
http://www.rtl.fr/actualites/vie-pratique/sante/article/le-neuropsychiatre-david-servan-schreiber-est-mort-7705400332
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http://www.tsr.ch/info/monde/3288422-le-neuropsychiatre-david-servan-schreiber-est-mort.html
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http://www.lemonde.fr/carnet/article/2011/07/25/le-neuropsychiatre-david-servan-schreiber-est-mort_1552415_3382.html

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Son combat :
http://www.cles.com/dossiers-thematiques/ecologie-globale/vivre-autrement-pour-donner-du/article/se-soigner-autrement-les-7-1
Son blog :
http://www.guerir.org/Members/david_servan_schreiber/anticancer-1
Son site :
http://www.guerir.org/
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Point de vue :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2009/11/05/une-vision-radicalement-nouvelle-du-cancer-par-david-servan-schreiber_1263122_3232.html#ens_id=1552429
Extrait :
la reconnaissance par la communauté scientifique et médicale internationale que les facteurs de terrain peuvent jouer un rôle majeur dans la progression, voire l’élimination, du cancer est une avancée majeure.
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Thea Tlsty, professeure d’histologie et spécialiste de biologie cellulaire du cancer à l’université de Californie de San Francisco rappelle qu’à partir de la cinquantaine, et plus encore au-delà, presque tout le monde est porteur de cellules cancéreuses et précancéreuses. « La vraie question à se poser », dit la Pre Tlsty au New York Times, « ce n’est pas tant pourquoi est-ce qu’on développe un cancer, mais plutôt qu’est-ce qui fait qu’on n’en développe pas ? »
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Point de vue :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2008/10/07/arretons-l-epidemie-de-cancer-par-david-servan-schreiber_1104156_3232.html#ens_id=1552429
Extrait :
La plupart des gens continuent de voir le cancer comme une sorte de roulette russe génétique, alors qu’il n’en est rien. Face au cancer, nous devons certes éviter de donner de faux espoir, mais nous devons lutter encore plus énergiquement contre le faux désespoir.
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Les 4 règles préventives de David :
http://www.cles.com/dossiers-thematiques/santes-alternatives/prevenir-vaut-mieux-que-guerir/article/les-4-regles-preventives-de-david
Guérir (2003) et Anticancer (2007)
Guérir, paru en 2003, s’attaque à la dépression, au stress et à l’anxiété, qu’on peut combattre par des approches naturelles, « sans médicaments ni psychanalyse ». Anticancer : prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles va plus loin, en s’attaquant à la maladie qui cause le plus de morts dans le monde entier.
« Prévenir, lutter et mieux vivre avec ses défenses naturelles »
Extrait :
L’histoire commence comme un roman. À l’époque, DSS, fils aîné de JJSS, fondateur de L’Express, est un brillant et, dit-il, assez arrogant neuropsychiatre de 32 ans qui, avec deux autres cracks, fait des étincelles au CHU de Pittsburgh, aux Etats-Unis, en explorant le cortex préfrontal sous IRM, la nouvelle machine à visualiser les activités du cerveau. Un soir, un étudiant manquant à l’appel, c’est David qui prend la place du cobaye. Stupeur et malédiction : on découvre une tumeur de la taille d’une noix dans le cerveau du chercheur ! En quelques heures, sa vie bascule. Sidéré, il va inexorablement glisser du statut de fringuant chercheur en grande forme (capitaine de son équipe de squash) à celui, très gris, des malades – dont il découvre soudain qu’en fait, il ne les avait jamais vraiment regardés, ni a fortiori écoutés. Chute libre.
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Très vite cependant, sa voix intérieure, qu’il découvre, le conjure d’accepter et de refuser le vertige. Il n’en revient pas, mais ça marche : le monde ne s’écroule pas. Il faut dire qu’il a de la chance : à cette époque, après un divorce dur, il vit un amour fulgurant avec une jeune Russe qui, non seulement, ne le laisse pas tomber, mais va accepter de l’épouser et de lui faire un enfant, alors même que la chimiothérapie l’aura rendu chauve et qu’une énorme cicatrice lui zébrera le crâne.
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Car, sans tarder, DSS a évidemment cherché les meilleurs cancérologues et chirurgiens du pays. Sur ce plan, il ne changera pas (même s’il opte pour les plus humains plutôt que pour les plus techniques) : il est « impensable » de se passer du prodigieux arsenal de la médecine moderne, chimio et radiothérapies, etc. Mais il ajoute aussitôt qu’il est tout aussi « déraisonnable » de s’en contenter et d’occulter, comme le font trop de patrons de médecine, des centaines de recherches prouvant désormais de façon incontestable que l’essentiel de la bataille se joue sur le « terrain ».
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NK – ou natural killers. Ces globules blancs géniaux, que nous portons tous en nous, s’avèrent d’irremplaçables chasseurs de cellules cancéreuses : se collant à elles, ils les perforent, à l’aide de leurs « seringues de perforine », puis leur injectent des granzymes, le pire des poisons, qui les élimine.
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Que faut-il faire pour avoir des NK costauds ? 1°) Bien les nourrir ; 2°) Savoir gérer ses émotions négatives. Nous allons revenir sur ces deux points, car le message essentiel est là, mais d’abord, présentons nos deux autres armes intérieures contre les « hordes sauvages incontrôlables » des cellules cancéreuses : le blocage des mécanismes inflammatoires et l’arrêt de l’approvisionnement sanguin des tumeurs.
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Mon billet archive sur Free

Merci David, nous ne t’oublierons pas.


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Nous sommes nombreux à être très touchés par David :
– L’hommage de Michel Montel :
…/… Bernard Giraudeau avait sur son site (la maison du cancer) dénoncé le manque de moyen « les infirmières qui courent de chambre en chambre »
Bernard, David et les autres sont des « frères », cette maladie n’est pas pour moi inconnue …
je la connais bien …
A ces femmes et à ces hommes qui ont le courage de lutter,
de dénoncer, d’aider MERCI, UN GRAND MERCI.
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Sur viadéo avec Marie Pierre Charneau qui cite :
Refuser la passivité.
Jusqu’au bout et malgré la récidive, il défendra son programme et ses valeurs : « Ma rechute entame-t-elle la crédibilité de la méthode anticancer ? Je réponds catégoriquement que non ». Les preuves présentées dans « Anticancer » « ne sont pas fondées sur mon expérience personnelle mais sur la littérature scientifique », précisait-il. Quant aux valeurs, « je suis très fier d’avoir contribué à faire avancer cette idée dans mon domaine, la médecine – même s’il reste du chemin à faire », confiait-il. Le 2 juillet dernier, il lançait sur son blog un dernier message : « Malgré toute sa technicité, la médecine conventionnelle ne suffira pas à éteindre cet incendie. C’est à chacun de se prendre en main pour changer de style de vie. »
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David Servan-Schreiber sera inhumé jeudi « dans l’intimité familiale » à Veulettes-sur-mer (Seine Maritime). Sa famille précise que des dons peuvent être adressés à l’Institut Curie.
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Le quotidien du médecin
– Très beau texte de Thierry Janssen, sa lettre d’adieu à David
– Et je termine par Jacques Salomé
David tu as réussi !

Je vous propose, en continuité,
cette émission de 2 h (117 mn) d’ « Ici et Maintenant »,
très instructive pour notre survie, avec Jane Allègre ;
Médecin aux pieds nus,
elle nous détaille son livre « Survivre en ville, quand tout s’arrête » :
http://rimsave.com/?s=survivre%2Ben%2Bville
Jade Allègre- Association L’Homme et l’Argile -41, rue Chapon 75003 Paris
http://lhomme.et.largile.free.fr/
A 111 mn de la vidéo, Jade indique le D° Tal Schaller, le voici :
http://www.santeglobale.info/tal/index.php

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& ce livre présenté par « Guérir » et par une vidéo de Guy Corneau :
Dialoguer avec ses cellules pour guérir
Présentation de la vidéo :
www.guerir.org/magazine/Dialoguer-avec-ses-cellules-pour-guerir
Lien site & Vidéo :
www.toslog.com/guycorneau/59/video/bloc

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Nouvel hommage ce 31 Juillet 2011 :
Lettre ouvert à David
…/…
« J’ai vraiment cru que manger comme il fallait – du curcuma, des oignons…- m’autorisait à être moins vigilant sur le stress dans ma vie.
Je pensais que quinze minutes de yoga et de méditation tous les matins suffisaient.
Mais cela ne contrebalance pas le fait que parcourir trois villes européennes dans la même journée, avec une conférence à chaque fois, c’était trop »
(In Le Nouvel Observateur, 16 Juin 2011, p.95).
Il aurait pu choisir de s’occuper de lui… mais il s’est occupé de nous.
Pas sûr que sa vocation l’obligeait à aller si loin.

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Son interview – Nouvel Obs du 16 Juin 2011
– 1 – http://www.artmony.biz/t3994-david-servan-schreiber
– 2 – nouvelobs/un-extrait-du-livre-testament-de-david-servan-schreiber-la-lecon-de-courage
– 3 – et le magasine Clé :
Vidéo interview du 25 Nov. 2010

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« J’aime beaucoup l’idée selon laquelle avant de naître nous existons déjà sous forme de potentiel dans l’immensité de l’Univers.
Une naissance est alors la convergence d’un potentiel encore informe en une forme incarnée qui se développe et se précise selon l’élan de son départ.
Lorsque l’on meurt, quelque chose de nous retourne ensuite à cet état de potentiel. »
David Servan-Schreiber

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Et je continuerai …

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Vous connaissez peut être ce diaporama que j’ai mis en slide.

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Vous prendrez bien une petite tasse
de muguet avant de partir …
JOYEUX 1er Mai
&
Bigs Bisous !
*DoMica*

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Le chemin de la création par Annick de Souzenelle

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Voici de nouvelles vidéos
pour nous aider sur le chemin de 2012.
I – Fatigué ?
Petite vidéo pour recharger ses batteries
en faisant cet exercice,
se tenir droit et inspirer profondément !

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II – Le symbolisme du corps humain par Annick de Souzenelle
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III – Le chemin de la création par Annick de Souzenelle
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Bises et Bon Dimanche ! ! !

*DoMica*
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Fukushima par Dominique Aubier

La Terre dévorée

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URL

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http://bouillondecultures.blogspot.com/2011/03/fukushima-la-loi-des-series.html
http://www.greenpeace.org/france/
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« Chaque année notre envahisseur blanc devient plus avide, exigeant, oppressif et autoritaire…
La misère et l’oppression, tel est le lot qui nous échoit…
Ne sommes-nous pas dépouillés jour après jour du peu de liberté qui nous reste ?
A moins que les tribus ne se liguent unanimement pour modérer les ambitions et l’avidité des Blancs,
ils nous auront bientôt tous conquis et désunis,
nous serons chassés de notre pays natal et éparpillés comme les feuilles d’automne par le vent. »

Tecumseh, chef Shawnee, en 1812
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Source……………………………….Etat de la planète……………………………….Prophétie de Jean de Jérusalem

La marche du Monde selon René Guénon
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C’est Alice Bailey qui aura le mot de la fin sur ce billet :
« Le Rayon IV Harmonie ou Beauté ….. viendra lentement en manifestation après 2025. »
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Nous sommes tous atterrés par ce qui se passe au Japon ;
voici mes billets d’infos sur le sujet :

– Chez Astralune
– Chez Domica01

Pluies radioactives en France :
« En déplacement en Alsace dans le Bas-Rhin, j’ai pu constaté au moment du déclenchement de la pluie une valeur de 48 µrem/h vers 15h30 ; avec une baisse en 1/4 d’heure à un niveau plus raisonnable de 12 µrem/h : manifestement la pluie a rincé l’atmosphère, précipitant au sol les poussières radioactives…
Mesures effectuées avec un compteur geiger étalonné césium 137. »
Source ici et là

– 7 sur 7 – Dossier Japon : État d’alerte maximum ce 29 mars

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St Valentin poétique

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Un poème d’autrefois, où l’amour est personnel,
alors qu’aujourd’hui, le net lui a donné
une dimension planétaire et collective.
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Au temps où la nature était belle … respectée et aimée…

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Si ton coeur, gémissant du poids de notre vie,
Se traîne et se débat comme un aigle blessé,
Portant comme le sien, sur son aile asservie,
Tout un monde fatal, écrasant et glacé ;
S’il ne bat qu’en saignant par sa plaie immortelle,
S’il ne voit plus l’amour, son étoile fidèle,
Éclairer pour lui seul l’horizon effacé ;
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Si ton âme enchaînée, ainsi que l’est mon âme,
Lasse de son boulet et de son pain amer,
Sur sa galère en deuil laisse tomber la rame,
Penche sa tête pâle et pleure sur la mer,
Et, cherchant dans les flots une route inconnue,
Y voit, en frissonnant, sur son épaule nue
La lettre sociale écrite avec le fer ;
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Si ton corps, frémissant des passions secrètes,
S’indigne des regards, timide et palpitant ;
S’il cherche à sa beauté de profondes retraites
Pour la mieux dérober au profane insultant ;
Si ta lèvre se sèche au poison des mensonges,
Si ton beau front rougit de passer dans les songes
D’un impur inconnu qui te voit et t’entend :
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Pars courageusement, laisse toutes les villes ;
Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin ;
De haut de nos pensers vois les cités serviles
Comme les rocs fatals de l’esclavage humain.
Les grands bois et les champs sont de vastes asiles,
Libres comme la mer autour des sombres îles.
Marche à travers les champs une fleur à la main.
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La Nature t’attend dans un silence austère ;
L’herbe élève à tes pieds son nuage des soirs,
Et le soupir d’adieu du soleil à la terre
Balance les beaux lys comme des encensoirs.
La forêt a voilé ses colonnes profondes,
La montagne se cache, et sur les pâles ondes
Le saule a suspendu ses chastes reposoirs.
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Le crépuscule ami s’endort dans la vallée
Sur l’herbe d’émeraude et sur l’or du gazon,
Sous les timides joncs de la source isolée
Et sous le bois rêveur qui tremble à l’horizon,
Se balance en fuyant dans les grappes sauvages,
Jette son manteau gris sur le bord des rivages,
Et des fleurs de la nuit entr’ouvre la prison.
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Il est sur ma montagne une épaisse bruyère
Où les pas du chasseur ont peine à se plonger,
Qui plus haut que nos fronts lève sa tête altière,
Et garde dans la nuit le pâtre et l’étranger.
Viens y cacher l’amour et ta divine faute ;
Si l’herbe est agitée ou n’est pas assez haute,
J’y roulerai pour toi la Maison du Berger.
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Elle va doucement avec ses quatre roues,
Son toit n’est pas plus haut que ton front et tes yeux ;
La couleur du corail et celle de tes joues
Teignent le char nocturne et ses muets essieux.
Le seuil est parfumé, l’alcôve est large et sombre,
Et là, parmi les fleurs, nous trouverons dans l’ombre,
Pour nos cheveux unis, un lit silencieux.
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Je verrai, si tu veux, les pays de la neige,
Ceux où l’astre amoureux dévore et resplendit,
Ceux que heurtent les vents, ceux que la neige assiège,
Ceux où le pôle obscur sous sa glace est maudit.
Nous suivrons du hasard la course vagabonde.
Que m’importe le jour ? que m’importe le monde ?
Je dirai qu’ils sont beaux quand tes yeux l’auront dit.
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Alfred de Vigny, Les Destinées (1844)

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Alfred de Vigny, « La Maison du Berger : Lettre à Eva », Les Destinées
source & en entier
par ici
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BONNE ST VALENTIN à Toi !
*DoMica*

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Notre ami Jean-Pierre de Carcassone fêtait son anniversaire ce 13 Février (55 ans) et puis …
Ce 25 Février il a demandé à son âme de s’élever vers d’autres cieux plus cléments.
Jean Pierre tu ne pousseras plus la porte, en es tu bien sur ? …
Je t’attends du haut des cieux …
*DoMica*

Les gens de la forêt

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…….2011 année internationale des forêts…….
…….L’UNESCO le pdf en français…….
…………..Facebook…………..
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Les Orang Rimba, terme malais signifiant en français « gens de la forêt »,
sont une population de chasseurs-cueilleurs de la province indonésienne de Jambi,
dans l’île de Sumatra. Rangés parmi les populations désignées sous le nom général de Kubu, ils vivent essentiellement dans la forêt, dans trois régions différentes.

sur Wikipedia

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Orang Rimba : la felicità sta nella foresta
Film original sur Dailymotion :

http://www.dailymotion.com/video/x5t4is_orang-rimba-la-felicita-sta-nella-f_shortfilms

D’autres Images de notre monde actuel
idem en recherche traduction

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Actuellement nous avons le site des pétitions Avaaz.org, « le Monde en action » qui récolte les signatures pour venir en aide à Raoni.
Ils essayent de contrer le projet du barrage de Belo Monte, projet plus grand que le Canal de Panama, inondant 160.000 hectares de forêt vierge, déplaçant 40.000 personnes issues des communautés indiennes, et détruisant les habitats d’innombrables espèces propres à l’Amazonie.
453.000 signatures déjà récoltées !
Regardez tomber les signatures en direct :
https://secure.avaaz.org/fr/amazon_under_threat/?cl=914132129&v=8205
En ce moment c’est géant ! elles tombent toutes les 20 secondes !
… apposez la vôtre si ce n’est déjà fait …

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Sur cette page : (http://gabrielbur.info/index.php?key=Amazonie)
Vous trouverez d’autres jolies vidéos comme celles-ci ; extrait Ushuaya :
Les derniers hommes libres de la forêt amazonienne.
(http://www.youtube.com/watch?v=FUPh2SQXOYY)
Cette petite vidéo parle des derniers Indiens Zoé (« Nous » dans leur langue),
ils vivent en harmonie avec la forêt, la forêt amazonienne Brésilie.
Pour terminer, voici une page pour nous décrire ces différents peuples des forêts :
(http://pensees-libres.org/Les-indiens-d-Amazonie-de-Sandra.html?artsuite=2)
Bien à vous
*DoMica*

« Les États-Unis d’Amérique forment un pays qui est passé directement
de la barbarie à la décadence, sans jamais avoir connu la civilisation. »
Albert Einstein
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« Le tiers monde, n’est pas une réalité mais une idéologie. »
Annah Arendt (1906-1975) (du mensonge à la violence)

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Billet lu 67 fois la semaine de sa création